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C’est avec enthousiasme que le Festival de Films Indépendants de Drummondville (FFID) tiendra sa troisième édition les 21, 22 et 23 mai prochains au Cinéma Capitol de Drummondville.

Depuis sa création, le FFID, qui relève de l’organisme à but non lucratif Ciné Films RGFM, a pour mission de faire rayonner le 7e art et de rendre le cinéma accessible à tous, jeunes et moins jeunes, en mettant en lumière la richesse du court-métrage indépendant.

Cette année, le festival présentera une édition haute en couleur lors de trois soirées uniques:

-Une soirée d’ouverture, présentée par le Festival Plein(s) Écran(s) dans le cadre   du Par-Court (21 mai);

-Une soirée Tapis rouge avec projections et rencontre Q&A avec les artistes et artisans (22 mai);

 -Et une soirée de clôture présentée par l’artiste de renom Monk-E (23 mai).

L’engouement autour de l’édition 2025 est déjà palpable et la participation confirmée de plusieurs artistes promet une affluence importante et un rayonnement notable pour la région. Porté par une équipe de bénévoles passionnés, le FFID vise non seulement à offrir un événement culturel de qualité, mais aussi à en assurer la pérennité, année après année

Un article CTVM info

MAISON 4 :3 est ravie de souligner que le film UNE LANGUE UNIVERSELLE, réalisé par Matthew Rankin , à l’affiche depuis le 31 janvier, a franchi le cap remarquable des 500 000$ de recettes aux guichets au Québec. Véritable succès public autant que critique, UNE LANGUE UNIVERSELLE , est 𝐞𝐧 𝐭𝐞̂𝐭𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐥𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐱 𝐏𝐫𝐢𝐱 𝐄́𝐜𝐫𝐚𝐧𝐬 𝐜𝐚𝐧𝐚𝐝𝐢𝐞𝐧𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐩𝐚𝐬 𝐦𝐨𝐢𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝟏𝟑 𝐧𝐨𝐦𝐢𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬, dont celle du Meilleur film, de la Meilleure réalisation et du Meilleur scénario. Le film est toujours en salle à Montréal au cinéma Beaubien et sera disponible en vidéo sur demande dès le 8 avril prochain.

𝐏𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐧𝐭𝐞́ 𝐞𝐧 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐢𝐚𝐥𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐐𝐮𝐢𝐧𝐳𝐚𝐢𝐧𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐂𝐢𝐧𝐞́𝐚𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐚̀ 𝐂𝐚𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐦𝐚𝐢 𝐝𝐞𝐫𝐧𝐢𝐞𝐫 𝐞𝐭 𝐫𝐞́𝐜𝐨𝐦𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞́ 𝐝𝐮 𝐩𝐫𝐢𝐱 𝐂𝐡𝐚𝐧𝐭𝐚𝐥 𝐀𝐤𝐞𝐫𝐦𝐚𝐧, 𝐔𝐍𝐄 𝐋𝐀𝐍𝐆𝐔𝐄 𝐔𝐍𝐈𝐕𝐄𝐑𝐒𝐄𝐋𝐋𝐄 𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐧𝐮 𝐮𝐧 𝐫𝐚𝐲𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐞𝐱𝐜𝐞𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥 𝐝𝐞𝐩𝐮𝐢𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝟗𝟎 𝐬𝐞́𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐧 𝐟𝐞𝐬𝐭𝐢𝐯𝐚𝐥𝐬 𝐚̀ 𝐥’𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐞𝐭 𝐮𝐧 𝐩𝐚𝐥𝐦𝐚𝐫𝐞̀𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐧𝐚𝐧𝐭 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝟏𝟓 𝐩𝐫𝐢𝐱. Au Canada le film a reçu le Prix de la meilleure découverte canadienne du Festival de Toronto et a décroché 13 nominations aux Prix Écrans canadiens : Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleur scénario original, Meilleur montage, Meilleure direction artistique, Meilleurs maquillages, Meilleurs costumes, Meilleure distribution des rôles, Meilleure interprétation dans un premier rôle, comédie, respectivement pour Rojina Esmaeili et Pirouz Nemati et 𝐌𝐞𝐢𝐥𝐥𝐞𝐮𝐫𝐞 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐩𝐫𝐞́𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐮𝐧 𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐭𝐢𝐞𝐧, 𝐜𝐨𝐦𝐞́𝐝𝐢𝐞, respectivement pour Danielle Fichaud, Mani Soleymanlou et 𝐒𝐚𝐛𝐚 𝐕𝐚𝐡𝐞𝐝𝐲𝐨𝐮𝐬𝐞𝐟𝐢.

La young artist academy a annoncé le 28 février les nominations pour le gala 2025.

Félicitons:

Rosalie Turmel nommée pour son rôle de Tess dans la série jeunesse Cirkus.

Saba Vahedyousefi nommée pour son rôle de Nazgol dans le long-métrage Une langue universelle.

Laurence Ménard nommée pour son rôle de Marianne dans le court-métrage Tout ce qui gronde.

Constance St-Denis-Veilleux nommée pour son rôle de Marie-Hélène dans le long-métrage l'Ouragan.

Llyr Yan-Ho Redweik-Leung nommé pour son rôle de Marc dans le court-métrage Les filles et les garçons de mon âge.

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Photos de Frederic Lebeuf

Le 23 février, le film Hola Frida, de André Kadi et Karine Vézina, était présenté comme film d’ouverture du Festival International du Film pour Enfants de Montréal (FIFEM) qui se tiendra du 1er au 9 mars. Découvrez les photos du tapis rouge de l’événement de lancement du film qui prendra l’affiche le 4 avril prochain.

Pour l'occasion, plusieurs acteurs de la relève ont eu le privilège d'être invités. Notons la présence de Isak Guinard Butt (président du Jury enfant, récipiendaire du prix d'interprétation UDA pour Echo à Delta), Léo Mai (Drazilion, In Memoriam, L'Arena), Rosalie Turmel (Cirkus, Sorcières) et Ines Feghouli (STAT, Les Patins).

Le Festival International du Film pour Enfant de Montréal se tiendra du 1er au 9 mars prochain. Pour cette 28e édition, c’est au tour du talentueux Isak Guinard Butt, acteur principal du film d’ouverture de l’édition précédente, Écho à Delta, de présider le jury. 

Lorsqu’il a mis les pieds, un peu par hasard, dans la salle d’audition pour le rôle d’Étienne dans Écho à Delta, Isak s’est découvert une nouvelle passion qu’il n’aurait jamais imaginé. C’est haut la main qu’il a décroché le rôle principal du long-métrage de Patrick Boivin avec un talent et un naturel innés puisqu’il n’avait jamais suivi de cours de jeu d’acteur. Le tournage de plusieurs semaines aura fini de le convaincre: c’est ça qu’il veut faire! Isak remportera 2 ans plus tard le prix d’interprétation UDA remis par Jessica Barker, présidente du jury professionnel lors de la 27e édition du FIFEM.

Un article à le dans Le Devoir

Pour son film Une langue universelle (2024), le réalisateur Matthew Rankin s’est inspiré d’un épisode réel vécu par sa grand-mère en 1931 pour raconter l’histoire de deux enfants qui tombent sur un billet de banque emprisonné dans la glace.

Originaire du Manitoba, le cinéaste a l’habitude de travailler avec des distributions décalées, notamment en « dé-genrant » ses rôles ou en travaillant avec des comédiens amateurs. Dans son dernier film, où Winnipeg est partiellement « iranisée », le défi était de dénicher une distribution presque entièrement issue de la communauté iranienne — un défi relativement facile pour le réalisateur, qui parle persan et qui est très proche de cette communauté.

Une première expérience au grand écran

Rojina Esmaeili et Saba Vahedyousefi, âgées respectivement de 13 ans et 15 ans, offrent une prestation éblouissante dans Une langue universelle. Nées en Iran, elles sont toutes deux arrivées à Montréal durant leur enfance. Bien que la communauté persane à Montréal soit relativement petite, les deux comédiennes ne se connaissaient pas avant de se rencontrer en audition. Leur chimie a si bien opéré en audition que le réalisateur a décidé de féminiser le rôle du grand frère pour qu’elles puissent incarner deux sœurs dans le film.

Pour Saba, dont c’était également le premier film, le fait qu’Une langue universelle ait eu un parcours si exceptionnel en festival dépasse de loin ses attentes. « Il y a beaucoup d’acteurs qui vont faire plusieurs films dans leur vie et qui n’auront jamais l’occasion de connaître un tel succès mondialement. C’est très précieux pour moi que le premier projet sérieux que j’ai fait ait une telle popularité. » Elles ont déjà voyagé beaucoup avec le film, notamment lors d’une tournée à France, qui les a amenées à Cannes. Rappelons qu’Une langue universelle avait été sélectionné pour représenter le Canada aux Oscar pour le meilleur film international.

Lors de leur audition, où elles devaient reproduire la scène où les personnages trouvent un billet de banque dans la glace, le réalisateur leur a demandé d’imaginer la suite du film. Cette audition serait annonciatrice de la suite du processus, car les actrices ont pu, durant le tournage, improviser et jouir d’une certaine liberté. « J’ai adoré travailler avec Matthew pour un premier projet sérieux, car il est très calme et relax. On a changé certaines lignes et il nous encourageait à faire preuve de créativité. Il est très ouvert d’esprit. Tout le monde, tous les gens du film ont mis un peu d’eux-mêmes dans l’œuvre », raconte Saba

Que Matthew Rankin connaisse à ce point la communauté perse fascine les deux comédiennes. « Je ne connaissais pas beaucoup de gens de la communauté iranienne sur le plateau, mais Matthew connaissait tout le monde. Pour moi, c’était très étrange », s’esclaffe Rojina. Elles s’étonnent qu’un réalisateur d’origine winnipegoise se penche sur leur culture. « Je suis contente de voir qu’une personne qui ne vient pas d’Iran s’intéresse à la culture iranienne », ajoute-t-elle. La sortie du film est une fierté pour les deux comédiennes, qui voient pour une rare fois leur culture briller dans un film québécois : « Il y a probablement plusieurs personnes qui ont découvert notre culture grâce à ce film. Il y a vraiment un sentiment de fierté qui nous habite », d’après Saba.

Une comédie singulière

Dans une des scènes les plus loufoques et drôles, Negin et Nazgol se rendent chez un boucher de dinde pour lui emprunter une hache. « J’essayais de ne pas rire pendant le tournage de cette scène, où le personnage du boucher avance tranquillement vers nous. Il y avait des photos de dinde partout sur les murs. »

Les motifs sont nombreux dans cette œuvre méticuleuse, furieusement engagée dans son sujet jusqu’à la fin. Les métaphores se tissent, mais sans surplomber l’œuvre d’un regard politique ou critique. Les jeunes actrices décrivent Une langue universelle comme un film sur l’amitié et sur le croisement entre deux cultures très éloignées, la canadienne et l’iranienne, qui en viennent pourtant à se ressembler. « Il n’y a pas de temps ni de lieu. Il n’y a pas d’horloge. Je n’ai jamais vu un film comme celui-là, qui croise de cette manière deux cultures », remarque Rojina.

Et pour la suite ? « J’aimerais tourner encore. On se retrouve dans chaque personnage que l’on joue et j’aimerais revivre ce sentiment avec un nouveau personnage », confie Rojina. Saba, qui espère faire des études en droit, aimerait aussi continuer à faire carrière comme actrice. Elle a d’ailleurs obtenu un rôle principal dans un deuxième film, une chance qu’elle n’aurait pas eue sans l’aide de Matthew Rankin, explique-t-elle.

Une langue universelle prend l’affiche le 31 janvier.

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